ORGONE
Wilhelm Reich, le savant maudit !
Psychiatre, psychanalyste et penseur américain d’origine autrichienne, Wilhelm Reich est né à Dobrzcynica (Galicie autrichienne) le 24 mars 1897.
Adhérant avec enthousiasme à la psychanalyse, il rencontre Sigmund Freud et est admis dès 1919 à la Société psychanalytique de Vienne, devant laquelle il fait sa première communication, sur les "Conflits de la libido et formations délirantes dans Peer Gynt d’Henrik Ibsen".
En 1921, il commença à pratiquer la psychanalyse après avoir été analysé par Isidor Sadger et Paul Federn. Il dirige alors un séminaire de
sexologie qui a beaucoup de succès. Dès cette époque, il évolue vers un énergétisme qui s’accorde mal avec la refonte freudienne mise en oeuvre dans la deuxième topique. Wilhelm Reich poursuit ses études de psychiatrie et devient en 1922 premier assistant à la polyclinique psychanalytique fondée par Sigmund Freud.
En 1927, il publie coup sur coup deux livres majeurs. L'un est un ouvrage de sexologie, La Fonction de l’orgasme, où la libido freudienne est conçue avant tout comme une énergie sexuelle trouvant son expression plénière dans la génitalité. Il dédie le livre à "mon maître le professeur Sigmund Freud".
Dans l'autre essai, De l’analyse caractérielle (qui deviendra ensuite L’Analyse caractérielle), il amorce l’essentiel de sa divergence théorique et technique avec le freudisme.
Préoccupé d’action sociale et de prévention, il fonde la Société socialiste d’information et de recherches sexuelles puis crée des cliniques d’hygiène sexuelle destinées à l’information des salariés.
Entre 1930 et 1933, il rédige sa plus belle œuvre, qui deviendra un classique : La Psychologie de masse du fascisme. Loin de regarder le fascisme comme le produit d’une politique ou d’une situation économique, d’une nation ou d’un groupe, il y voit l’expression d’une structure inconsciente et étend la définition à la collectivité pour souligner qu’en définitive le fascisme s’explique par une insatisfaction sexuelle des masses. Il reprend en fait une thèse qui avait été traitée par Gustave Le Bon, puis par Sigmund Freud dans Psychologie des masses et analyse du moi, mais en lui donnant un contenu radicalement nouveau au moment même où le nazisme déferle sur l’Allemagne. L’ouvrage aura un retentissement mondial, et la doctrine reichienne sera reprise par tous les théoriciens du freudo-marxisme, puis, autour des années 1970, par les mouvements libertaires.
Ses deux grands ouvrages de 1933, L’Analyse caractérielle, dans lequel il adopte des positions identiques à celles de Sandor Ferenczi au sujet de la technique active, et La Psychologie de masse du fascisme, entraînent son exclusion et du Parti communiste et de l’Association psychanalytique. Avec ses disciples, Freud a en effet opté pour une stratégie qui consiste, par crainte d’éventuelles représailles du gouvernement nazi, à exclure de ses rangs les militants d’extrême gauche : Marie Langer fera elle aussi les frais de cette politique.
C’est en effet en raison de son adhésion au communisme, et non pour un désaccord technique et doctrinal, que Reich est alors persécuté par le mouvement freudien, par Freud lui-même mais aussi par Ernest Jones. Du fait de son anticommunisme et de son conservatisme, Jones est en effet peu sensible au danger que représente le nazisme pour le freudisme. Aussi accepte-t-il en 1933-1935, avec l’appui tacite de Freud, de soutenir une politique de "sauvetage" de la psychanalyse en Allemagne. Or Reich pense au contraire qu’il faut lutter contre le nazisme et préconise, contre cette politique de prétendu sauvetage, la dissolution pure et simple de la Deutsche Psychoanalytische Gesellschaft dès 1933. Au congrès de Lucerne de 1934, il est ainsi exclu des rangs de l’IPA alors même qu’il devient impossible de lui reprocher son bolchevisme puisqu’il n’est plus membre du Parti communiste. Cette exclusion jouera un rôle majeur dans l’évolution ultérieure de Reich. En un premier temps, il rejoindra la gauche freudienne non communiste et entamera ensuite un dialogue fécond avec Otto Fenichel, en dépit de nombreux désaccords.
Traité de schizophrène par la communauté freudienne, il doit affronter une campagne de diffamation contre ses recherches. Il s’exile au Danemark, puis s’installe en 1936 à Oslo (Norvège) où il fonde l’Institut de recherches biologiques d’économie sexuelle dans lequel se regroupent des médecins, des psychologues, des éducateurs et des sociologues. Parallèlement, il invente et pratique la végétothérapie, future orgonothérapie, et fait des expérimentations sur ces particules d’énergie vitale qu’il nomme Les Bions (titre de son livre qui sera publié en 1938). Il lie la cure par la parole à l’intervention sur le corps. Il laisse libre cours à sa fascination pour les théories physico-biologiques, tentant de concilier les thèmes cosmogoniques chers au Romantisme avec la technologie quantitative propre à la Sexologie.
En 1939, Wilhelm Reich quitte définitivement l’Europe avec sa nouvelle compagne, Ilse Ollendorf, qui deviendra sa deuxième femme et lui donnera un fils. Réfugié aux États-Unis, il s’installe dans un vaste chalet du Maine, près de la frontière canadienne, et tente d’y réaliser son rêve : construire une théorie orgastique de l’univers et la mettre en pratique à l’aide des moyens technologiques de son époque. Avec son institution de recherche baptisée Orgonon, qui comprend des laboratoires, une maison d’édition, des séminaires, il élargit considérablement son champ d’action et forme de nombreux élèves à la pratique de la "végétothérapie caractéro-analytique". Il croit découvrir l’"Orgone atmosphérique" et tente de la capter afin de guérir ses patients de leur impuissance orgastique. Il expérimente ses "accumulateurs d’orgone", véritables machines destinées à stocker la fameuse énergie.
En 1940, il rencontre Albert Einstein qui le reçoit pour un entretien de cinq heures et s’émerveille de ses découvertes.
À partir de 1942, Reich est attaqué de toutes parts, traité de charlatan, de schizophrène, et d’escroc pour avoir commercialisé ses accumulateurs d’orgone.
Ses recherches peu orthodoxes sur le cancer (La Biopathie du Cancer, 1948), sur "l’orgone atmosphérique", et sa pratique clinique suscitent une véritable persécution. Il s’enfonce progressivement dans la folie, se croyant victime du grand MODJU. Ce mot forgé par lui dérive de MO (cenigo), personnage anonyme qui a livré Giordano Bruno à l’Inquisition, et de DJOU (gachvili), alias Staline.
En 1954, devant son refus de répondre à une citation en justice (parce qu’il estime qu’aucune cour ne peut juger de ses découvertes scientifiques) un juge prescrit la destruction des appareils et la destruction par le feu de la majeure partie de ses oeuvres, considérées comme "propagande" ou "textes publicitaires". Il est finalement inculpé, condamné à deux ans de détention et incarcéré le 12 mars 1957 après un lamentable procès.
C’est au pénitencier de Lewisburg, en Pensylvanie, que Wilhelm Reich meurt d’une attaque cardiaque dans la nuit du 3 novembre 1957, à l'âge de soixante ans.
L’itinéraire tourmenté du plus grand dissident de la deuxième génération freudienne, proche de Wilhelm Fliess pour ses théories biologiques et d’Otto Gross pour son destin d’éternel persécuté, a ensuite été raconté de façon caricaturale par l’historiographie officielle, et notamment par son principal représentant, Ernest Jones, responsable avec Max Eitingon, Anna Freud et Sigmund Freud de son exclusion de l’International Psychoanalytical Association (IPA).
Wilhelm Reich fut en réalité le fondateur du freudo-marxisme, le théoricien d’une analyse du fascisme qui marqua tout le XXe siècle, et l’artisan d’une refonte de la technique psychanalytique qui s’appuyait sur une conception de la sexualité plus proche de la sexologie que de la psychanalyse. Ses thèses eurent et ont encore une postérité importante, tant du côté du biologisme, quand elles firent retour avec la gestaltthérapie, que lorsqu’elles furent remises à l’honneur par les mouvements de contestation libertaire dans la plupart des grands pays où s’est implantée la psychanalyse.
Le pouvoir des orgonites alchimiques
Orgone est le terme inventé par Wilhelm Reich, pour désigner l'énergie de la Vie.
L'orgonite est une matière composée de cristaux, de métaux et de résine. Les métaux, conducteurs d'énergie par association avec la résine, vont augmenter le pouvoir des cristaux. C'est de la lithothérapie.
La pierre Orgonite a le pouvoir de convertir un élément néfaste en élément positif. C'est un transmetteur d’énergie.
Les formes des orgonites sont diverses avec des bienfaits multiples :
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Amélioration du sommeil
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Amélioration du système immunitaire
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Supprime l'effet néfaste des ondes électromagnétiques
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Joue sur la vitalité des choses...
Orgonite : Des effets immédiats et puissants !
Supprimez l’influence néfaste des ondes électromagnétiques sur vous et votre environnement ! (Animaux, végétaux.) grâce aux effets d'une Orgonite.
De nos jours, nos corps sont soumis en permanence au SMOG, aux ondes des téléphones portables et autres vibrations nous parcourant sans en ressentir les effets négatifs. Mais c'est surtout les ondes 5G qui nous préoccupent au plus au point actuellement.
L'orgone est une force vitale qui en constituerait une véritable source et qui aurait le pouvoir de convertir un élément néfaste en élément positif !
Grâce à sa composition, l'orgonite absorbe naturellement les ondes dites négatives et les redistribuent de manière équilibrées et positives !
Quelque soit sa forme, l'orgonite a le pouvoir d’apporter un équilibre dans l’organisme pour une vie plus saine, moins soumise au stress de la vie quotidienne.
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L’avantage c’est que les effets sont immédiats, il suffit de la porter en pendentif ou comme simple élément de décoration (pyramide).
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Les énergies néfastes sont automatiquement capturées sans que vous n’ayez besoin de fournir le moindre effort.
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En plus de dépolluer l’atmosphère en captant les flux néfastes, des flux bénéfiques seront ainsi libérés.
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Le métal étant comprimé par la résine, il va réagir aux champs électromagnétiques de votre environnement.
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En l’associant avec du quartz, elle va répandre un impact positif grâce à un processus naturel de transformation.
Les différentes analyses réalisées montrent clairement que la pierre orgonite influe réellement sur la fréquence des flux vibratoires électromagnétiques environnants.
"Sa fonction première repose concrètement sur le fait de répandre des fréquences aux flux vibratoires positifs plutôt que de subir constamment les impacts néfastes, sur le plan psychologique. "
Les appareils électriques ou électromagnétiques émettent naturellement des flux négatifs, grâce à un processus énergétique naturel, la matière a la capacité de transformer ces flux néfastes dans un cycle d’ondes positives, l’objectif est d’avoir une influence bénéfique de son environnement sur soi, et non l’inverse, sur le plan physique par exemple.
L’influence néfaste des appareils électriques est ainsi annulée.
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L’orgonite est également utilisée pour favoriser le cycle de croissance des végétaux, que ce soient des plantes ou des fleurs.
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Lorsque de l’eau est à proximité de l’orgonite, la matière à la capacité de former des stalagmites de glace, à condition que l’eau soit pure.
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Une détoxification de l’eau et une purification de l’atmosphère sont à noter dans les différents bénéfices et les différents phénomènes qui lui sont accordés, ce serait une méthode alternative pour mettre fin aux sécheresses.
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Idéale également pour instaurer une harmonie, contre des cas d’insomnie ou un sommeil difficile, la matière a le pouvoir d’apporter un équilibre dans l’organisme, de nous rendre de meilleure humeur avec un sommeil beaucoup plus reposant.
Sur un autre plan plus subtil, les orgonites seraient capables d'éveiller les dons psychiques, que nous avons tous de manière innée, mais que nous n’avons pas développer au cours de notre existence.