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De l'arthrose à la chirurgie : 
SCANDALE
LES DESSOUS D'UN
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Faites l’expérience vous-même. Tapez les trois mots suivants : « mort, opération banale » sur un moteur de recherche Internet.

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Le résultat est absolument dramatique :

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• « Hospitalisé pour une banale opération de la prostate, il meurt », Europe127

• « Appendicite à 11 ANS : mort lors d' une opération banale », Libération28

• « David est mort après une banale opération des dents de sagesse », Le Parisien29

• « Une jeune mère de 34 ans morte sur la table d’opération suite à une banale intervention chirurgicale », La Dépêche30

• « Mort d’une fillette après une banale opération urinaire », France Info

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Des drames qui succèdent aux drames, avec à chaque fois la même histoire d’une famille dévastée par la perte d’un proche, des enfants qui se retrouvent brutalement orphelins, des conjoints abandonnés seuls avec leurs questions sans réponse.

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Pourquoi ?

Que s’est-il passé ?

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Comment une opération « banale » peut-elle se transformer en cauchemar ?

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Vous allez découvrir que la réponse est absolument effarante :

TOUT A ETE FAIT...POUR EN ARRIVER LA !

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Ça paraît presque impossible à croire ?

Et pourtant …

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Vous allez comprendre ce qu’il se passe réellement dans les coulisses de la médecine officielle, en France, aujourd’hui même.

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Vous allez aussi découvrir que vous devez agir pour que ce genre de drames ne vous arrive pas à vous, à ceux que vous aimez, un proche, un ami, ... Car le hasard n’a absolument rien à voir dans ces tragédies.

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Une erreur médicale ?

Pas du tout...C’ETAIT VOULU  !

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Le père d’Emilie L., lui, est entré au centre hospitalier Jacques Cœur de Bourges en janvier 2016, pour une banale opération de la prostate.

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Tellement banale qu’il est mort sur la table d’opération.

 

Non pas à cause d’une erreur médicale mais suite à une véritable boucherie, si l’on en croit le récit de l’anesthésiste et des infirmières mettant directement en cause le comportement du chirurgien. Celui-ci serait arrivé au bloc très agité, aurait hurlé contre le matériel de merde, et contre ses collègues. Le patient n’étant que partiellement anesthésié, il a tout vu, tout entendu, jusqu’à ce qu’on l’endorme complètement...

 

L’opération va dégénérer et le malade succombera à un arrêt cardiaque.

 

Lorsque la famille cherchera à comprendre ce qu’il s’est passé par le biais de son avocat, elle se heurtera à un refus d’explication !

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La direction ne fera même pas de déclaration auprès du procureur de la République, ni auprès de l’ordre des médecins, pas davantage auprès de l’ARS (Agence Régionale de Santé). Il faudra attendre une plainte de la part de la famille pour qu’une procédure démarre.

 

L’ensemble du corps médical qui était présent au bloc opératoire a demandé l’autopsie.

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La direction a refusé.

La vérité a été cachée à la famille.

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Tout ceci n’est absolument pas dû au hasard ou à la malchance ».  Ces « accidents » sont prévisibles, on pourrait presque dire qu’ils sont « programmés ».

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Ils sont la conséquence logique d’un système qui a corrompu l’acte de soin pour de basses raisons financières.

 

Vous pensez que j’exagère ?

Ce sont les médecins eux-mêmes qui le disent.

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Les confessions effarantes de 9 médecins sur 10

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Une étude récente de la Fédération Hospitalière de France a révélé que 9 médecins sur 10 avouent pousser aux interventions chirurgicales alors que ce n’est pas nécessaire31.

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Autrement dit, cela signifie que 90% des médecins reconnaissent qu’ils encouragent des opérations INUTILES32 !

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Vous allez comprendre qu’il y a pourtant une explication qui explique cette dérive.

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L’argent et uniquement l’argent !

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Le docteur Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France admet : Plus vous faites d'actes, plus vous êtes rémunéré.

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Réguler les pratiques, c'est aussi toucher à la rémunération des uns et des autres.

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C’est également vrai pour obtenir des subventions : les hôpitaux français doivent justifier d’un nombre minimum d’actes chirurgicaux par an, sinon, les financements iront ailleurs.

 

Aussi incroyable que cela paraisse, les opérations de chirurgie ne sont plus envisagées comme le moyen de soulager, soigner ou sauver un patient, elles sont un « levier » de gestion financière.

 

Et le patient qui s’allonge sur la table d’opération, croyant qu’il est entre les mains de personnes qui sont là pour prendre soin de lui, ignore totalement qu’il est le PION d’un JEU DE DUPES uniquement motivé par l’argent.

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Arthrose : votre vie FICHUE parce que c’est la procédure...

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Vous allez voir que là aussi, on nous ment en

TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE !

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Avec cette maladie, il y a la douleur physique bien sûr, parfois insupportable et il y a aussi la tristesse de devoir renoncer aux gestes les plus simples du quotidien : retourner la terre au jardin, se promener dans les bois en jetant un bâton à son chien, prendre ses petits-enfants dans ses bras, etc.

 

Alors nombreux sont les patients prêts à beaucoup de sacrifices pour que cela cesse...

 

Et voilà comment ils tombent dans le piège.

 

Si vous souffrez d’arthrose sévère du genou, il y a de grandes chances que votre médecin vous conseille la chirurgie méniscectomie (enlever la partie du ménisque abîmée) ou débridement (régulariser des lésions du cartilage).

 

C’est comme ça.

C’est la procédure.

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Quatre scientifiques danois ont voulu évaluer l’utilité réelle de ces opérations33.

 

Et là...coup de théâtre MONUMENTAL

 

Les chercheurs ont constaté qu’après un soulagement de six mois, la douleur revenait à l’identique après l’opération. 

D’après les patients, la chirurgie n’avait pas plus d’effet que le paracétamol sur la douleur, et n’améliorait pas du tout la mobilité du genou. Vous comprenez bien que ces informations sont fondamentales, et qu’elles devraient être communiquées en toute transparence aux malades. Mais non. On continue comme si de rien n’était, en faisant prendre tous les risques au patient : décès après l'anesthésie, thrombose veineuse, aggravation de l’arthrose sur le long terme, etc.
 
C’est d’autant plus scandaleux qu’on SAIT aussi qu’il existe un produit naturel, le méthyl-sulfonyl-méthane (MSM), qui, dans une étude en double-aveugle, a montré une réduction de 82 % de la douleur chez les patients arthrosiques après 6 semaines. Sans les effets secondaires des médicaments antidouleur !
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Vous imaginez bien que ce serait catastrophique pour l’arthrose business que tout ceci arrive aux oreilles du grand public !
 
Et avant de charcuter les patients, leur a-t-on dit que l’étude ADAPT (Arthrisis Diet, and Activity Promotion Trial) a montré qu’une mauvaise alimentation entraînait un risque 5 fois plus important d’arthrose du genou ?
 
Faites un sondage autour de vous.
 
QUI est au courant ?
QUI sait que c’est par là qu’il faut commencer pour en finir avec l’arthrose : adopter une stratégie micro-nutritionnelle de pointe, avec des compléments pour nourrir le cartilage, d’autres pour limiter l’inflammation ou produire du collagène, etc.
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Arthrose : les mensonges qui crucifient les malades
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Dans un livre consacré à l’arthrose34, le Dr. Jean-Pierre Poinsignon, disciple du célèbre Dr. Seignalet, fait la liste des idées fausses qui ont façonné les habitudes alimentaires de millions de personnes, alors qu’elles sont totalement contradictoires avec le patrimoine génétique de l’espèce humaine, forgé au paléolithique.

 

C’est de cette opposition que résultent, d’après lui, l’immense majorité des maladies.

 

Le Dr. Poinsignon ne mâche d’ailleurs pas ses mots, qualifiant l’alimentation de « catastrophe écologique humaine »

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•Idée fausse # 1 : Le bienfait du lait des mammifères (bovins, ovins, caprins, camélidés, etc.) pour nourrir l’homme. C’est un leurre !

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•Idée fausse # 2 : Les céréales modernes (blé, maïs) mutées par 10 000 ans d’agriculture et quelques dizaines d’années de modifications génétiques opérées par des apprentis sorciers seraient anodines pour l’espèce humaine.

 

•Idée fausse # 3 : Ignorer les modifications chimiques toxiques des hautes températures de cuisson sur nos nutriments.

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•Idée fausse # 4 : L’innocuité de l’ajout de nombreux corps chimiques, introuvables dans la nature, ajoutés à notre alimentation industrialisée.

 

C’est bien en remettant en cause ces idées fausses qu’on pourra agir efficacement contre l’arthrose. Le Dr. Poinsignon l’affirme avec force : « Oui ! Simplement en changeant notre alimentation, on peut éviter l'arthrose, l'ostéoporose, les arthrites et les tendinites !»

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Lorsqu’il y a crise inflammatoire d’arthrose, c’est très souvent que le tissu cartilagineux est déjà bien atteint. Ce tissu est construit par les cellules chondrocytes. Et si on donne une mauvaise alimentation à cette cellule, elle fera du mauvais travail, « comme un maçon à qui l’on donnerait des mauvais moellons construirait une maison de mauvaise qualité ».

 

Les phénomènes pathologiques liés au vieillissement ont été bien étudiés dans l’archipel japonais d’Okinawa, où il existe de nombreux vieillards vaillants, sans arthrose, sans ostéoporose, sans arthrites, sans tendinites... Or, ces vieillards ont le même patrimoine génétique que nous.

 

L’arthrose, l’ostéoporose, les tendinites, les arthrites, sont des affections qui touchent le même tissu conjonctif, formé de cellules cousines germaines issues de la même lignée cellulaire embryologique. Ce qui est toxique pour les unes est souvent toxique pour les autres ».

 

Reprendre en main son alimentation, cela suppose dans bien des cas une reconnexion complète avec les demandes que nous adresse notre corps à travers la maladie. Car aussi absurde que cela paraisse, nous sommes aujourd’hui très nombreux à avoir délégué la gestion de notre propre corps...à d’autres :

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•A l’industrie alimentaire, en lui faisant une confiance aveugle sur ce qu’elle met dans notre assiette, dans notre verre et dans la poche de nos vestes pour les moments où on a un petit creux.

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•A l’industrie du médicament, en faisant confiance à ses pilules chimiques pour régler nos problèmes de ventre, de maux de tête, de douleurs, de sommeil ou de petits « coups de mou ».

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•Aux autorités de santé, en suivant sans broncher leurs instructions et leurs idées fausses : mangerbouger.fr

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•Les bienfaits des produits laitiers ou de la vaccination obligatoire, etc.

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C’est notre santé.

 

C’est pourquoi le corps n’a parfois pas d’autre solution que la maladie pour exprimer sa demande d’attention.

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Cas concret :

L’alimentation anti-arthrose qui a changé le destin d’une femme

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Dans le cas de Laura Azenard, la guérison de sonarthrose, n’était aux yeux du corps médical, tout simplement « pas envisageable » 35.

 

Active, sportive, cadre supérieure dans une entreprise de restauration, Laura venait d’avoir 40 ans quand brusquement elle a ressenti de puissantes douleurs aux genoux : arthrose de stade 3, l’étape qui précède la prothèse.

 

Pour le rhumatologue qu’elle consulte alors, «il n’y a pas d’espoir de guérir » et elle doit accepter que sa vie ne sera « plus jamais la même ».

 

Du jour au lendemain, la voilà reléguée « derrière », dans un corps qui souffre, qui ne peut plus monter les escaliers ni porter des talons, et elle est priée d’accepter ce nouvel état de fait.

 

Que s’est-il passé ?

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Pourquoi en est-elle arrivée là ?

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Quel est le message que son corps envoie ?

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A ces questions que leur pose Laura Azenard, les soignants, kinés, rhumatologues n’apportent pas de réponse.  Le monde médical, explique-t-elle, se désintéresse de l’arthrose. Ce n’est pas une maladie mortelle, elle est juste vécue comme une fatalité. 

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Une fatalité ?

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Laura la refuse.

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Et c’est comme ça qu’elle se met elle-même à chercher les réponses, à lire, à enquêter sur son propre corps. Laura réalise qu’elle a une vie très acidifiante, avec trop de stress, beaucoup de sodas, de cafés, etc. ce qui entretient une inflammation importante : « Dans l’arthrose, explique-t-elle, la destruction du cartilage n’est pas une histoire d’usure ou de vieillissement, elle est la conséquence d’une inflammation chronique des chondrocytes, les cellules spécialisées du cartilage. » «C’est un cercle vicieux, car les chondrocytes enflammés deviennent surexcités et fabriquent en grande quantité des radicaux libres qui nourrissent l’inflammation».
 
Et la solution lui apparaît alors, comme une évidence : « En adoptant une alimentation anti-inflammatoire et antioxydante, j’allais abaisser le niveau inflammatoire et neutraliser les radicaux libres, avec à la clé une réduction, voire un arrêt de l’arthrose ».
 
Aussitôt elle passe à l’action, et supprime les sodas, le gluten, les produits laitiers, réduit la viande rouge (forte teneur en oméga 6) elle rééquilibre ses apports en acides gras en ajoutant des oméga-3 anti-inflammatoires : huile de colza, huile de lin et de noix, petits poissons gras.
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Elle veille à ce que les légumes occupent «la moitié de son assiette », avec beaucoup de crucifères, elle change de mode de cuisson (vapeur, marinades), consomme beaucoup d’épices (curcuma, gingembre), pratique régulièrement le jeûne.
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On lui avait dit qu’il fallait  vivre dans du coton  pour enrayer la dégradation du cartilage !

 

Laura fait l’inverse, en maintenant une activité physique régulière. Cinq ans après son diagnostic d’arthrose sévère, elle descend les escaliers, danse, nage et court. Elle ne prend aucun médicament !

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Arsenal naturel contre l’arthrose
 
Pour compléter cette réflexion, j’aimerais ajouter quelques solutions concrètes pour ceux qui voudraient expérimenter l’arsenal naturel anti-arthrose.
 
Du côté de la phytothérapie, Il y a bien sûr les incontournables, comme le curcuma, le piment de Cayenne et bien sûr l’harpagophytum, ou griffe du diable, reconnue dans de très nombreuses études pour sa capacité unique de réduire le niveau de cytokines, les agents d’inflammation36.
 
Avec l’harpagophytum, une étude a montré la régression de la douleur de 25 à 45 % alors que la mobilité augmente d’autant37 (en extrait sec, jusqu’à 2g par jour). On utilise le cassis en teinture-mère (50 à  100gouttes deux fois par  jour dans un peu d’eau avant les repas.
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Les fleurs de la reine des prés sont reconnues pour leurs vertus anti-inflammatoires et antirhumatismales qui apaisent les douleurs articulaires. La plante est donc particulièrement indiquée en cas d’arthrose, et surtout en cas de rhumatismes aggravés par l’humidité.
2 gélules d’extrait sec ou 1 cuillérée à café d’extrait phyto-standardisé (EPS) ou de suspension intégrale de plantes fraîches (SIPF) à prendre le soir.
 
Une plante comme la prêle des champs est intéressante pour activer la reminéralisation osseuse.
2 gélules de poudre de prèle ou 1 cuillérée à soupe d’EPS ou de SIPF, 20 jours par mois pendant 2 mois.
 
Il faut aussi penser à la bromélaïne, une enzyme tirée de la tige de l’ananas, qui présente de remarquables effets antalgiques, anti-inflammatoires et cicatrisants, sans pratiquement aucun effet indésirable.
 
L’écorce de pin maritime contient un flavonoïde (l’oligo-proanthocyanidine–OPC dont l’activité antioxydante est de plus de 20 fois supérieure à celle des vitamines C et E. L’OPC se lie au collagène et le protège des agressions comme l’arthrose et inhibe les effets de certaines molécules inflammatoires.
Deux études menées sur 258 personnes souffrant d’arthrose ont montré que l’extrait d’écorce de pin permettait de réduire l’utilisation de médicaments anti-inflammatoires.
Prendre 100 à 200mg d’extrait d’écorce de pin maritime par jour.
 
Du côté des huiles essentielles, la gaulthérie (Gaultheria procumbens et Gaultheria fragantissima) contient du salicylate de méthyle, un composé organique antalgique et anti-inflammatoire.
Masser les zones douloureuses avec l’huile essentielle, que vous pouvez diluer à 50% dans de l’huile de calendula si vous avez du mal à supporter l’impression de chaleur de l’huile essentielle de gaulthérie.
 
On peut également utiliser le lavandin, le basilic exotique ou l’eucalyptus citriodora, à raison de 2 gouttes pures ou diluées dans un peu d’huile d’olive par exemple, appliquées en massage sur l’articulation douloureuse. 
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En homéopathie, les traitements les plus communément utilisés sont :

 

•Rhus tox.4CH : douleurs aggravées par l’humidité ;

•Bryonia4CH : douleurs améliorées par l’immobilité ;

•Ruta grav.5CH : pour les articulations douloureuses

 

La posologie est généralement de 3 granules avant les trois repas, en espaçant les prises dès que l’on constate une amélioration.

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Le silicium (Silicium organique G5 de feu Loïc Le Ribault de préférence - Silicium Espana ) est un oligoélément qui intervient dans la synthèse du collagène et la formation des os.

Il permet de régénérer les tissus et de temporiser l’action agressive de l’interleukine 1 (qui agresse les cartilages). À prendre sous forme de silicium organique à raison de 1 cuillerée à soupe avant les trois repas (ou en en gel à appliquer deux fois par jour sur l’articulation douloureuse.

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Sources :

27 http://www.europe1.fr/societe/bourges-apres-la-mort-dun-patient-la-famille-porte-plainte-pour-homicide-involontaire-2723101

28 https://www.liberation.fr/societe/2014/11/09/appendicite-mort-dans-une-operation-banale_1139968

29http://www.leparisien.fr/essonne/david-33-ans-est-mort-apres-une-banale-operation-19-02-2002-2002830983.php

30 https://www.ladepeche.fr/article/2011/05/27/1092105-celine-tondo-34-ans-morte-sur-la-table-d-operation.html

31http://www.europe1.fr/sante/trop-dactes-chirurgicaux-inutiles-sont-pratiques-selon-une-etude-de-la-fhf-3503255

32http://www.20minutes.fr/sante/2176939-20171127-federation-hospitaliere-france-alerte-nombre-operations-chirurgicales-injustifiees

33Thorlund JB, Juhl CB, Roos EM, Lohmander LS. Arthroscopic surgery for degenerative knee: systematic review and meta-analysis of benefits and harms. BMJ. 2015 Jun 16

34 Poinsignon, J.P, Rhumatismes. Et si l'alimentation était coupable ? Comment éviter l'arthrose, l'ostéoporose, les arthrites, les tendinites, etc., en mangeant autrement, L'Œil F.X de Guibert 2010

35 https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/l-arthrose/laura-azenard-lvoici-comment-jai-vaincu-larthrose

36 Fiebich BL : Inhibition of TNF-alpha synthesis in LPS-stimulated primary human monocytes by Harpagophytum extract SteiHap 69. Phytomedicine. 2001 Jan ; 8(1) :28-30.

37Wegener T :Treatment of patients with arthrosis of hip or knee with an aqueous extract of Devil’s Claw (Harpagophytum procumbens DC.). Phytother Res 2003, 17(10) : 1165-1172

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