top of page
VC.JPG

La fantastique histoire d’Allan Smith

​

Il y a quelques années, les enquêteurs de la célèbre émission américaine « 60 minutes » ont consacré un film sur l’histoire d’Allan Smith.

​

Ce fermier néo-zélandais était atteint de grippe porcine, d’une pneumonie avancée, d’une leucémie et d’un scorbut (déficience ultime en vitamine C).

​

Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Son état (coma) était jugé absolument désespéré et les médecins avaient averti la famille qu’ils comptaient débrancher les appareils1…

​

Mais non seulement la famille a refusé, mais elle a insisté pour qu’on administre à Alan de hautes doses de vitamine C.

​

La réaction des médecins a été catégorique :

​

« Etant donnée son insuffisance respiratoire, il n’est pas possible que Monsieur Smith puisse survivre. »

​

« Monsieur Smith doit être « débranché » des appareils et qu’il lui soit permis de mourir en paix…Tout le personnel des soins intensifs est d’accord pour dire que la vitamine C ne lui sera d’aucune aide. »

​

Mais la famille a insisté encore, menaçant de procès si les médecins ne traitaient pas Allan avec des hautes doses de vitamine C. Et finalement, l’hôpital a cédé.

​

Les médecins ont commencé par deux perfusions de 25g de vitamine C, et en quelques heures, l’infection des poumons était déjà en nette amélioration ! La dose monte à 100g par jour, et bientôt Allan Smith peut respirer par lui-même.

De façon incompréhensible, les médecins décident alors d’arrêter le traitement, et quasiment immédiatement, l’état d’Allan Smith se dégrade.

​

Il faut à nouveau que la famille menace pour qu’on reprenne le traitement – mais les médecins se braquent : ils ne veulent plus donner que 2g de vitamine C par jour. Le cirque continue ainsi pendant trois semaines, fait de reculs, de menaces de procès. Et pendant tout ce temps, la famille du patient décide de lui donner elle-même de la vitamine C en complément oral !

​

SCANDALE !

LE PATIENT N’EST PAS MORT

​

Pour les médecins, ce patient devait mourir. Et le voir reprendre vie a quelque chose de si incompréhensible qu’on les dirait prêts à tout pour retarder, voire gâcher, cette rémission.

​

Mais c’est peine perdue. Grâce à l’incroyable ténacité de sa famille, le fermier est debout, guéri, et il peut sortir de l’hôpital à peine un mois après y être entré…

​

« Les médecins n’en revenaient pas que j’avais pu me rétablir si vite !

​

« L’establishment médical devrait prendre un peu plus au sérieux le problème des hautes doses de vitamine C et le plus tôt sera le mieux ! »

​

C’est un miraculé qui conseille cela, et on ne peut qu’être d’accord avec lui : la vitamine C à haute dose, c’est extrêmement sérieux. Et en particulier pour ce qui est des infections virales graves.

Les chercheurs ont notamment montré l’efficacité de traitements utilisant la vitamine C à haute dose pour les maux suivants, entre autres :

​

  • Septicémie (infection du sang)234

  • Les infections pulmonaires5

  • Une activité antibactérienne contre différents types de bactéries6

  • l’Herpès7

 

DÉCOUVERTE DE LA VITAMINE C

​

A l’origine, ce sont les travaux d’un scientifique hongrois, Albert Szent-Györgyi, qui recevra la Prix Nobel de chimie pour sa découverte de la vitamine C en 1937, et de l’américain Linus Pauling (prix Nobel de chimie ET de médecine !) qui ont établi un lien entre la respiration cellulaire et la vitamine C :

​

L’oxygène que nous respirons nous fait vivre au quotidien mais nous tue à petit feu…

​

En effet, l’oxygène est responsable de l’oxydation. Il s’agit d’une réaction chimique par laquelle un élément perd des électrons au profit de “l’oxydant”. En clair, l’oxygène vient s’accaparer des électrons. C’est pour cela que l’on dit que l’oxygène est électronégatif.

​

Dans le cas du fer, l’oxydation produit la rouille ; quand nous respirons, ce sont des radicaux libres, des molécules ou atomes rendus instables par ce qu’il leur manque un électron. Ils vont chercher à combler ce vide en « pillant » les molécules situées autour, créant ainsi des déséquilibres en chaîne. L’ensemble de ce processus est ce qu’on connaît sous le nom de stress oxydatif, qui va venir impacter les surrénales et le système endocrine, entraînant notamment un symptôme caractéristique : la fatigue.

​

La vitamine C sert à neutraliser ces radicaux libres en leur apportant des électrons.

« Elle permet aux mitochondries de mieux fonctionner et de favoriser ainsi l’homéostasie, c’est à dire l’équilibre parfait entre les éléments de cellule pour que celle-ci fonctionne au mieux »8.

​

VITAMINE C…À HAUTE DOSE

​

Comme le rappelle le journaliste scientifique Thierry Souccar, la vitamine C utilisée à haute doses a longtemps été une arme redoutable dans la lutte contre les infections :

​

« De 1948 à 1974, le médecin américain Fred Klenner a utilisé des doses massives de vitamine C pour soigner avec succès des personnes souffrant d’infections graves : méningite, encéphalite, poliomyélite, pneumonie, tétanos. La plupart lui étaient adressées par d’autres médecins ou des hôpitaux qui avaient baissé les bras.

​

« Klenner les récupérait souvent fiévreux, inconscients, et pour certains avec un pied dans la tombe. Klenner traitait les plus malades avec des doses de 2 à 4 g de vitamine C en injections intraveineuses toutes les 3 heures. La plupart se rétablissaient rapidement, un grand nombre quittant même l’hôpital au bout de trois ou quatre jours.»

​

« De son côté, le Dr Robert Cathcart, un médecin de la petite ville de Incline (Nevada) a soigné des milliers de personnes avec des perfusions de vitamine C. Pour guérir des pneumonies, il a administré jusqu’à – tenez-vous bien – 200 g de vitamine C en intraveineuse. Robert Cathcart n’a jamais eu à hospitaliser un malade. »

​

Plus récemment, une étude publiée en 2018 a montré que des injections de vitamine C ont permis de sauver des patients hospitalisés en soins intensifs pour septicémie et détresse respiratoire aigüe9.

​

Et ce n’est donc pas surprenant que l’on retrouve la piste des injections de vitamine C à haute dose contre…le coronavirus, et notamment dans les cas les plus graves.

​

Cela se pratique déjà avec succès :

​

A New-York, dans le service de pneumologie du dr Andrew Weber, les patients reçoivent « par voie intraveineuse 1500 mg de vitamine C 4 à 5 fois par jour. »

​

Et d’après ce médecin, « ceux qui reçoivent de la vitamine C s’en sortent nettement mieux que ceux qui n’en reçoivent pas. »

​

A Shangai, le Dr Mao, chef du service de médecine d’urgence de l’hôpital Ruijin affirme avoir traité « environ 50 cas, de modérés à sévères, d’infection à Covid-19 » grâce à l’injection de vitamine C à haute dose.

Les cas modérés recevaient 10 000 mg par jour pendant 7 à 10 jours, et la dose était doublée pour les cas graves.

Résultat :

​

« Tous les patients qui ont reçu ce traitement ont vu leur état s’améliorer et il n’y pas eu de mortalité ».

« Le séjour à l’hôpital des patients traités par l’injection de vitamine C a été réduit et il n’y a eu aucun effet secondaire.»

 

BON SANG, MAIS C’EST TROP…SIMPLE !

​

Ces injections de vitamine C à haute dose pourraient donc sauver des vies, mais elles posent un problème…étonnant, comme le révèle le dr. Weber : « la vitamine C aide énormément, oui, mais ce n’est pas un médicament sexy »10.

​

Comprenez : ce n’est tout de même pas avec une simple vitamine, même en intraveineuse, que vous prétendez sauver la planète, quand même !

​

Et l’on retrouve la même attitude qu’avec notre fermier néo-zélandais du début de cette lettre…

Entre un médicament « ordinaire », la chloroquine, qu’on utilise depuis 70 ans et qui serait efficace pour traiter les patients au début de l’infection virale, et une vitamine « toute bête », la vitamine C, qui pourrait à haute dose sauver les patients dans un état grave (là où précisément la chloroquine n’est plus utile), c’est vraiment le triomphe de la médecine de papa…

​

Une aberration que peinent à accepter les tenants de la médecine sur-technologique, ultra-perfectionnée, mais aussi les Google et autres transhumanistes qui nous avaient promis de « tuer la mort »11…

En attendant, voilà donc où nous en sommes…

​

A préférer des traitements plus neufs, des nouveaux vaccins plus modernes (et évidemment beaucoup plus chers, bien sûr) …qui n’existent PAS encore, plutôt que d’utiliser les « vieilleries de la pharmacie », surtout si elle est naturelle…

​

Rien de neuf sous le soleil, hélas.

​

Souvenez-vous de ce qu’écrivait en 1922, le Dr Leclerc dans son fabuleux Précis de Phytothérapie en 1922, où il ironisait sur le mépris de ses confrères envers ce qui leur paraissait « trop simple » :

​

« Comment concilier la science avec des pratiques à la portée du premier rustaud venu ? »

« Quel crédit pouvoir accorder à des plantes qu’on foule aux pieds, dont toutes les commères savent les noms et prônent les vertus ? »

​

Un siècle plus tard, la simplicité ne paraît pas tellement plus à la mode…

 

 

Sources :

[1] Voir le site www.initiativecitoyenne.be/article-un-cas-desespere-gueri-par-de-la-vitamine-c-que-l-hopital-ne-voulait-pas-administrer-un-cas-exempla-109903088.html

[2] Voir le site www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28210072

[3] Voir le site www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27940189)

[4] Voire le site www ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25994956

[5] Voir le site www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26898166

[6] Voir le site www.antibiotique.eu/deacutefinition–histoire.html

[7] Voir le site www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25543818

[8] Institut de Protection de la Santé Naturelle, Dossier Spécial, La Révolution Vitamine C.

[9] Voir le site www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0012369216625643

[10] Voir le site www.sante-corps-esprit.com/protocole-du-pr-raoult-et-vitamine-c-des-traitements-salvateurs/#sources

[11] Voir le site www.sept.info/laurent-alexandre-google-veut-tuer-la-mort/

bottom of page