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D'HONNEUR
DES HOMMES
de devoir &
de courage
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Serment d'Hippocrate
Version de 2012
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Le Dr Laurent Montesino
Quelques compagnons d'infortune du Dr Montesino,
radiés par le désordre des médecins 
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      Dr Vincent Reliquet                       Dr Louis Fouché                            Dr Martine Wonner
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         Pr Luc Montagnier                            Dr Hélène Buscaille                           Dr Denis Agret
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         Dr Peter El Baze                       Pr Christian Perronne                         Dr Antoine Venault
Mise au point
Je titre "Des hommes d'honneur", il est bien entendu qu'il faut comprendre le mot "Homme" en tant qu'espèce humaine et non en tant que genre. 
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Qui de prétendument mieux placé pour parler du serment d’Hippocrate ?

Le conseil national de l’Ordre des médecins ?

Plus maintenant, mais histoire de faire hurler de rire le lecteur, je vais me référer au site de cet Ordre et pour rire très jaune, les passages les plus piétinés par les toubibs

que le Professeur Montagnier appelle des criminelles, seront passés en rouge.

Je cite :

Même s’il n’a pas de valeur juridique, le serment d'Hippocrate est considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale.

Le serment d’Hippocrate

Texte revu par l’Ordre des médecins en 2012



“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.


Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.


J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.


Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.


Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.


Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.


Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.


Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.


J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.


Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”

 

Source : https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate

 

La déclaration de Genève

La déclaration de Genève également intitulée Serment du médecin figure en annexe du code de déontologie médicale. Cette déclaration a été adoptée par l'assemblée générale de l'Association médicale mondiale en 1948, elle a fait l'objet de plusieurs révisions, la dernière date d'octobre 2017.

EN QUALITÉ DE MEMBRE DE LA PROFESSION MÉDICALE


JE PRENDS L’ENGAGEMENT SOLENNEL de consacrer ma vie au service de l’humanité ;
JE CONSIDÉRERAI la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité ;
JE RESPECTERAI l’autonomie et la dignité de mon patient ;
JE VEILLERAI au respect absolu de la vie humaine ;

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation  sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient ;
JE RESPECTERAI les secrets qui me seront confiés, même après la mort de mon patient ;
J’EXERCERAI ma profession avec conscience et dignité, dans le respect des bonnes pratiques médicales ;
JE PERPÉTUERAI l’honneur et les nobles traditions de la profession médicale ;
JE TÉMOIGNERAI à mes professeurs, à mes collègues et à mes étudiants le respect et la reconnaissance qui leur sont dus ;
JE PARTAGERAI mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé ;
JE VEILLERAI à ma propre santé, à mon bien-être et au maintien de ma formation afin de prodiguer des soins irréprochables ;
JE N’UTILISERAI PAS mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte ;
JE FAIS CES PROMESSES sur mon honneur, solennellement, librement.


D’autres textes fondateurs de l’éthique médicale

En 2011, le Conseil européen des Ordre des médecins a adopté la charte d’éthique médicale européenne qui met à jour les Principes d’éthique médicale européenne (http://www.ceom-ecmo.eu/charte-europeenne-dethique-medicale-647) , en distinguant ce qui relève de l’éthique de ce qui constitue la déontologie.
Des recommandations déontologiques (http://www.ceom-ecmo.eu/recommandations-deontologiques-143) ont également été rédigées.

De son côté, l’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki 

( https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/) comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. Initialement adoptée en 1964 à Helsinki (Finlande), cette déclaration a été mise à jour en 2013.

En France, le comité consultatif national d’éthique ( https://www.ccne-ethique.fr/) pour les sciences de la vie et de la santé est chargé de donner des avis sur les problèmes éthiques et les questions de société soulevés par les progrès de la connaissance dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé.

Dans de nombreux hôpitaux, des espaces éthiques contribuent à faire vivre la réflexion sur les principes fondamentaux de l’éthique médicale et à interroger son évolution au regard des nouvelles pratiques médicales et des innovations technologiques.

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