Aiguilles de pin fraiches
ou aiguilles de pin fraiches en poudre
MISE AU POINT du 18 septembre 2021
Sur YouTube, j'ai trouvé la vidéo d'un herbaliste qui assène que les aiguilles de pin ne guérissent pas du Covid. C'est fâcheux, car durant les 20 minutes que dure sa vidéo, il enfonce des portes ouvertes, car personne de sérieux n'a jamais affirmé une telle chose. Il a été dit et prouvé par la virologue le Dr Judy Mikovits, que la suramine contenue dans les aiguilles de pin, permettaient l'excrétion de la protéine Spike contenue dans les sérums expérimentaux et qui infecte les vaccinés et les non vaccinés, au contact des vaccinés.
C'est essentiel et bien plus utile que de soigner la grippe Covid, très peu mortelle.
En cas de Covid, il y a l'hydroxychloroquine, l'Ivermectine etc.
Il ne faut donc pas confondre Covid et conséquences de l'injection sérum anti-covid.
Les aiguilles de pin fraîches provenant d'arbres appropriés ont été utilisées pendant des siècles comme sources de vitamine C et d'autres composés phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et autres affections.
La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, car le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C. Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l'agrégation plaquettaire dans le sang, empêchant potentiellement les caillots sanguins qui conduisent à des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des diagnostics d'embolie pulmonaire.
Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme nourriture et médicament depuis des milliers d'années. De nombreuses personnes pensent maintenant que les aiguilles de pin pourraient offrir une protection contre les protéines de pointe de covid – qui sont des armes biologiques artificielles trouvées dans les vaccins contre la covid – ainsi que contre les particules « d’excrétion » des vaccins contre la covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour atteindre le dépeuplement mondial.
Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes sont bien conscients que le thé aux aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement de la covid, et qu'ils utilisent secrètement le thé aux aiguilles de pin pour se protéger de cette "peste" qu'ils ont abattu sur le monde, explique Judy Mikovitz.
Creuser dans la science derrière les aiguilles de pin et le covid
(Traduit de l'anglais)
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En tant que scientifique de laboratoire, j'ai décidé d'approfondir cette question à l'aide de mes connaissances et de mon expérience de laboratoire.
Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour faire un thé est une méthode d'extraction couramment utilisée en science alimentaire ainsi qu'en médecine traditionnelle chinoise (MTC).
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L'eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l'eau, ce qui en fait un thé aux aiguilles de pin. (C'est ainsi que tout le thé est fait.)
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Alors que je parcourais les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, j'avais deux questions principales :
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1) Quelles molécules se trouvent dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions par rapport à l'arrêt des caillots sanguins ou à la protection des non vaccinés contre l'excrétion du vaccin covid ?
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2) Quelle est la meilleure méthode d'extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d'extraction low-tech que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d'un laboratoire ?
Grâce à des recherches, j'ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule vantée pour divers effets médicinaux, mais aussi de l'acide shikimique.
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L'acide shikimique est la base du Tamiflu, et c'est la molécule trouvée dans la médecine chinoise, l'anis étoilé, qui guérit les fléaux.
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Imaginez ma surprise lorsque j'ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l'acide shikimique, la même molécule que l'on trouve dans l'herbe d'anis étoilé utilisée en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les épidémies et les maladies respiratoires.
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Le Boston Herald a publié un article en 2010 à ce sujet
(cliquez sur le logo ci-dessous pour y accéder) :
Le Boston Herald révélait que des chercheurs étudiaient des techniques d'extraction pour récolter l'acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l'industrie pharmaceutique pour fabriquer des médicaments sur ordonnance antiviraux, antigrippaux
et antipandémiques.
Historique
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Des chercheurs de l'Université du Maine à Orono disent avoir trouvé un nouveau moyen relativement simple d'extraire l'acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – à partir d'aiguilles de pin.
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L'acide shikimique peut être retiré des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d'autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans de l'eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.
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L'acide extrait pourrait être précieux car le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière.
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Cependant, la principale source d'acide shikimique reste l'anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d'étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.
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La recherche a été financée par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le département américain de l'Agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l'université.
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Une étude publiée dans Research Gate confirme que l'acide shikimique offre une activité d'agrégation antiplaquettaire, ce qui signifie qu'il aide à arrêter les caillots sanguins : analyse du contenu de l'acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité d'agrégation antiplaquettaire .
L'étude en laboratoire
L'acide shikimique, lorsqu'il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l'agrégation plaquettaire induite par l'adénosine diphosphate et le collagène chez le lapin. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité d'agrégation antiplaquettaire de l'acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source d'acide shikimique.
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Le rendement est d'environ 6% d'acide shikimique à partir d'aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement extrait le plus élevé de toutes les espèces de pin jusqu'à présent (Chen et al. 2014).
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Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ les deux tiers de l'acide shikimique de l'herbe d'anis étoilé :
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Aiguilles de pin Masson = 5.71% d'acide shikimique
Anis étoilé = 8.95% d'acide shikimique
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Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement courantes en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l'acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui peut s'avérer incroyablement utile pour arrêter les caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.
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D'autres recherches m'ont conduit à une étude utilisant la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d'extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin :
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Cette étude propose la recette suivante pour l'optimisation de l'extraction :
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Utilisez environ 75 % d'alcool (comme la vodka) et 25 % d'eau,
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Utilisez une machine de nettoyage à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable,
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Réglez la température à 65 degrés C,
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Utilisez 280 ml de solution d'extraction pour 10 grammes d'aiguilles de pin,
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Utiliser une durée de 25 minutes pour l'extraction par ultrasons.
Ce « thé » fini doit être filtré à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d'éliminer les grosses particules. Le liquide résultant contiendra de l'acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.
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