Historique de l'eau ionisée
L’eau ionisée a été développée au Japon au début des années 50, les premiers ionisateurs furent disponibles en 1958, dans les hôpitaux. En 1966, l’ioniseur d’eau fut approuvé par le ministère de la santé japonais comme dispositif médical améliorant la santé. Depuis plus de 30 ans, au Japon et en Corée du Sud, l’eau alcaline est utilisée au quotidien par des millions de personnes (1 foyer sur 5) et se trouve dans les hôpitaux, sanatoriums et cliniques. L’eau alcaline ionisée est préconisée pour lutter contre l’hyper-acidité, les rhumatismes, l’arthrite, les allergies, l’ostéoporose. L’eau alcaline est une recommandation officielle des ministères de la santé. Depuis quelques années, les Etats-Unis, l’Afrique du Sud, et l’Australie préconisent son utilisation, si en Europe son utilisation est plus récente, sa progression est néanmoins rapide.
Thérapie orthomoléculaire
Irwin Stone
Le principe du bâton ionisateur-purificateur d’eau, repose sur la thérapie orthomoléculaire encore appelée médecine orthomoléculaire.
Cette thérapie puise ses origines dans une découverte révolutionnaire réalisée dans les années 40 par le biochimiste et ingénieur chimiste américain Irwin Stone.
Le double prix Nobel Linus Pauling consacra 40 années d’études et de travaux sur la vitamine C. Il donnera naissance à la « Médecine Orthomoléculaire », un nom inventé par lui en 1968 pour désigner une médecine capable de soigner l’individu par un apport de molécules naturelles connues et totalement acceptées par notre organisme.
Les molécules thérapeutiques de la médecine orthomoléculaire sont donc sans danger : vitamines (A, B, C, D, E, F, P, PP), les minéraux (magnésium, soufre etc.), les oligo-éléments (cuivre, fer, manganèse, sélénium etc.).
Cette voie médicale s’inscrit en opposition à l’utilisation de molécules fabriquées par l’homme de façon industrielle. Ces dernières induisent souvent des effets secondaires plus ou moins légers, parfois nocifs, parfois catastrophiques chez certains patients, mais qui rapportent toujours « gros » aux laboratoires qui conçoivent et commercialisent ces remèdes chimiques.